Dans tout domaine professionnel le risque zéro n'existe pas.
La recherche d'eau n'est pas une science reconnue:
L’activité de sourcier n’est pas reconnue par la communauté scientifique, qui considère cette pratique à de la pseudoscience.
La recherche d'eau fait appel au ressenti du sourcier.
Le risque d'erreur existe même pour les sourciers les plus expérimentés
L'art du sourcier ne peut garantir à 100% la présence de l'eau, la profondeur, le débit, la potabilité.
Le client est donc averti qu'en aucun cas la responsabilité du sourcier ne pourra être engagé, en cas d'échec.
Bien que la science n'explique pas encore le mécanisme par lequel les sourciers localisent l'eau, leurs résultats demeurent incontestables
Rien ne vaut l’expérience et la sensibilité du sourcier.
On n'improvise pas le cheminement d'une source, d'une veine d'eau.
Aucune méthode même scientifique, ne permet de trouver de l'eau en toute fiabilité.
Les méthodes géophysiques faites par des sondages électriques, magnétiques ne vous indiqueront pas le point d’eau à forer ni la profondeur ni le débit.
Les renseignements fournis par le sourcier sont des estimations.
Je pratique en plusieurs phases, avec différentes techniques et toutes les indications disponibles afin de minimiser au maximum ces risques.
Je suis là pour apporter des informations supplémentaires au client et au foreur, augmentant les chances de trouver l'eau.
La nature du sous sol joue un rôle essentiel dans la réussite de recherche d'eau
Selon le type de sol, comme l'argile, le calcaire ou le granite, le signal perçu par le sourcier peut être perturbé.
Cela peut parfois entraîner des variations dans l'estimation du débit ou de la profondeur.
On aura toujours besoin de notre savoir.
Les techniques que j'utilise sont issues de l'art traditionnel et modernes des sourciers.
Ma méthode m'apporte un taux de fiabilité de +/- 97 %.
Les 3 % restant peuvent être des écarts de débits ou de profondeurs.
Mais pas l'absence d'eau.